Édition: Gilles Maurice Leclerc
R/ Tu es un refuge pour moi ; de chants de délivrance, tu m’as entouré. Heureux l’homme dont la faute est enlevée, et le péché remis ! Heureux l’homme dont le Seigneur ne retient pas l’offense, dont l’esprit est sans fraude ! Je me taisais et mes forces s'épuisaient à gémir tout le jour : ta main, le jour et la nuit, pesait sur moi ; ma vigueur se desséchait comme l'herbe en été. Je t’ai fait connaître ma faute, je n’ai pas caché mes torts. J’ai dit : « Je rendrai grâce au Seigneur en confessant mes péchés. » Et toi, tu as enlevé l’offense de ma faute. Ainsi chacun des tiens te priera aux heures décisives ; même les eaux qui débordent ne peuvent l'atteindre. Tu es un refuge pour moi, mon abri dans la détresse ; de chants de délivrance, tu m'as entouré. « Je vais t'instruire, te montrer la route à suivre, te conseiller, veiller sur toi. N'imite pas les mules et les chevaux qui ne comprennent pas, qu'il faut mater par la bride et le mors, et rien ne t'arrivera. » Pour le méchant, douleurs sans nombre ; mais l'amour du Seigneur entourera ceux qui comptent sur lui. Que le Seigneur soit votre joie ! Exultez, hommes justes ! Hommes droits, chantez votre allégresse ! R/ Tu es un refuge pour moi ; de chants de délivrance, tu m’as entouré. |
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